Par 54 voix contre 24 (UDC-PLR) et 6 abstentions, une motion socialiste visant à bannir des cantines scolaires et parascolaires le plastique et autres matériaux susceptibles de libérer des perturbateurs endocriniens a été acceptée. Le caractère nocif de ces substances sur la santé est désormais bien établi : puberté précoce, baisse de la fertilité, etc. il s’agit d’un véritable problème de santé publique. Compte tenu de l’inaction de Berne sur ce sujet, les Socialistes se réjouissent qu’une première impulsion puisse être donnée au niveau cantonal, en invitant les collectivités publiques dans un premier temps, puis l’ensemble des acteurs et actrices concernées, à s’engager sur la voie de la « déplastification » de notre société.
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