NON au hold-up des communes aisées
Imaginons une personne qui habite à Cologny et travaille toute la journée en Ville de Genève, profitant des services publics urbains (routes, transports publics, etc.). À midi, elle profite de sa pause pour faire des longueurs dans une piscine publique, ou un jogging dans un parc municipal. Après le travail, elle se détend dans un lieu de culture subventionné par la ville. Le week-end, elle se trouve rarement à Cologny et préfère profiter de prendre un peu de hauteur au chalet.
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