À la suite des révélations visant l’ancienne Conseillère d’État en charge du Département de l’économie et de l’emploi (DEE) quant à l’utilisation potentielle de ressources publiques à des fins de campagne, la Commission de contrôle de gestion s’est saisie de l’affaire. Son enquête a constaté qu’il n’existait pas de cautèles pour prévenir de tels dysfonctionnements.
Les député-es ont adopté, à une très large majorité, le rapport et les recommandations de la Commission, confirmant ainsi la volonté du législateur d’une meilleure gestion des deniers publics. Sans les lanceur-euses d’alerte et les médias, les dysfonctionnements relevés n’auraient jamais été portés à la connaissance de la population, ni fait l’objet de prises de décisions politiques visant à ce que l’argent public ne soit plus utilisé à des fins privées.