Je suis profondément convaincue que quand on fait de la politique, c’est parce qu’on a des idéaux et des valeurs à défendre. Et non pas juste par opportunité ou soif de pouvoir !
En lançant 12 candidat-es au Conseil national et un duo rassemblé qui a fait ses preuves pour le Conseil des États, le Parti socialiste veut défendre les valeurs de la social-démocratie. Des valeurs comme la justice sociale et la redistribution solidaire des richesses, à l’heure notamment où l’écart entre riches et pauvres se creuse. L’égalité des chances pour toutes et tous, indépendamment du genre, de l’origine ou des croyances, la possibilité de réaliser ses rêves et vivre dignement, alors que l’inégalité salariale reprend l’ascenseur. Le respect des droits des personnes venant d’ailleurs, à l’heure de la montée de l’extrême droite à Genève et ailleurs. Sans oublier la défense des classes moyennes avec de réelles solutions telles que des loyers abordables et des primes d’assurance-maladie modérées tout en maintenant un bon système de santé. Tout cela est impossible sans un environnement sain et la préservation de notre planète. Et pour faire valoir toutes ces valeurs, il faut soutenir une culture accessible à chacune et chacun qui permette de rassembler les gens et de vivre des émotions fortes et de beaux moments inoubliables.
Nos candidat-es vont défendre ces causes, pour que lors de ces élections fédérales le PS sorte gagnant en récupérant son troisième siège au Conseil national et en défendant celui du Conseil des États. La liste du Conseil national est remplie de personnalités fortes qui sauront porter nos valeurs.
En outre, le duo uni que forment Lisa Mazzone et Carlo Sommaruga représente vraiment la population genevoise. Lors des importants scrutins des quatre dernières années, Carlo et Lisa ont tous deux voté comme Genève pour des soins infirmiers forts, pour la responsabilité des multinationales en matière d’environnement et de droits humains, pour la protection des jeunes contre le tabac, pour des logements abordables et contre l’augmentation de l’âge de la retraite des femmes.
Tous ces combats, le PS doit se donner les moyens de les poursuivre, dans un contexte politique qui est, vous le savez, difficile. À défaut de disposer de dizaines de millions de francs, nous devons miser sur notre union qui fait la force, nos personnalités, notre bilan et notre vision pour l’avenir. Un avenir que nous voulons façonner en luttant contre toute injustice, en nous engageant pour la dignité pour toutes et tous sans privilèges. Alors, mobilisons-nous !
