Élection du Conseil municipal de Vernier
Incompréhension, colère, lassitude, perte de confiance, ce sont des mots que j’entends souvent à Vernier. Je ne comprends que trop bien ces sentiments, car je les ai également ressentis quand...
Dans six semaines aura lieu le premier tour de l’élection partielle au Conseil d’État qui désignera celui qui succédera à Antonio Hodgers. Ce rendez-vous électoral est décisif pour l’avenir politique du canton, déjà en équilibre fragile. Actuellement, la gauche détient trois sièges sur sept, alors que le Grand Conseil est dominé par une droite sans complexe. Perdre ce siège serait un coup dur pour nos valeurs de solidarité, de justice sociale et de durabilité et par conséquent pour la population.
Dans ce contexte, le Parti socialiste genevois appelle à se mobiliser pleinement et avec enthousiasme et énergie derrière Nicolas Walder, candidat engagé et expérimenté. Conseiller national depuis 2019, vice-président des Vert-e-s suisses et ancien conseiller administratif à Carouge, il allie connaissance des enjeux locaux et maîtrise des défis nationaux. À l’exécutif carougeois, il a porté des projets marquants : théâtre, culture, piétonnisation, aménagement, espaces verts, politiques sociales,…
Ses combats sont aussi les nôtres : défense des locataires contre la spéculation, refus des cadeaux fiscaux aux personnes morales et physiques, opposition aux réformes inégalitaires des retraites, promotion du mariage pour toutes et tous, encadrement du secteur financier, engagement fort pour les droits humains ou encore la protection du climat. Comme Président de la FEGEMS (Fédération genevoise des EMS), il est à l’écoute des préoccupations des aîné-es et du personnel soignant. En outre, son passage au CICR lui a donné une solide expérience et un savoir-faire reconnu en matière de négociation, de gestion de crise et d’écoute.
Candidat compétent, travailleur, rassembleur et solidement ancré à gauche, Nicolas Walder sait que c’est la campagne de terrain et une large mobilisation qui permettent de l’emporter. En 2018, il a su fédérer toute la gauche en présidant les Vert-e-s genevois-es. Aujourd’hui, il a besoin de chacune et chacun d’entre nous à ses côtés : cette campagne ne peut se gagner seul et le combat collectif est essentiel, d’autant plus avec une campagne si courte !
Le 28 septembre doit être un grand moment de rassemblement et d’union face aux populismes. Pour nos valeurs. Pour la gauche. Pour Genève.
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