Travail des soignants-es : lancement d’une réflexion
Les soignants-es sont indispensables. Nous connaissions ce constat. À moins d’en être un-e soi-même, nous le remarquions plus ou moins épisodiquement en raison des aléas de la vie. Nous...
Vendredi dernier, le Grand Conseil a voté à une très large majorité le projet de loi « Renforcement de la protection de la jeunesse contre le tabagisme ». Ce dernier prévoit une extension de l’actuelle interdiction de fumer dans les lieux fermés à un certain nombre de lieux extérieurs, particulièrement fréquentés par les enfants et les jeunes.
En pleine pandémie mondiale, les jeunes paient le prix fort : cours à distance, fermeture des lieux de loisirs, annulation des vacances, avenir incertain… Autant d’éléments qui pèsent sur leur santé psychique et augmentent les risques en matière d’addictions, en l’occurrence le tabac.
Il est fondamental de mettre à disposition de la population des espaces publics sains, propices au développement de la jeunesse. Et il est reconnu que voir des personnes fumer ou même simplement des signes de l’usage du tabac (comme des mégots) contribue à banaliser le tabagisme et augmente les risques d’initiation chez les jeunes.
Pour lutter efficacement contre ce phénomène, des pays comme la France, l’Espagne, les États-Unis ou encore le Canada ont généralisé une pratique : la création d’espaces extérieurs sans fumée. En 2008, Coire est la première ville de Suisse à avoir préservé de la fumée ses aires de jeux. Depuis, de nombreux cantons et communes ont mis en œuvre des mesures similaires. Mais, grâce au vote de ce projet de loi, le canton de Genève va plus loin et élargit les environnements extérieurs sans fumée aux :
Avec un périmètre aussi large de zone extérieure sans fumée, le canton de Genève fait figure de pionnier dans la lutte pour la protection de la jeunesse contre le tabac. Un signal positif en vue du vote de l’initiative « Enfants sans tabac » du 13 février prochain.
Les soignants-es sont indispensables. Nous connaissions ce constat. À moins d’en être un-e soi-même, nous le remarquions plus ou moins épisodiquement en raison des aléas de la vie. Nous...
Voulons-nous confier aux caisses-maladies 11 milliards de nos impôts en plus de 35 milliards de primes et demander aux assuré-es de payer plus cher ? C’est la question que nous voulons poser ...
355’049, c’est le nombre de personnes mises aux poursuites par les assurances-maladie en 2022 ! Sans compter celles déjà poursuivies les années précédentes et dont les dettes ne...